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Un petit peu d'histoire ! Revenons sur l'histoire et les origines de la Maison des Activités Scientifiques Technologiques et Environnementales.

Dans le cadre de la commémoration du tricentenaire de la naissance de Mme Lepaute Nicole Reine (née en 1723), mathématicienne et astronome française, nous avons souhaité revenir sur l’histoire et l’évolution de ce lieu de vulgarisation et pédagogie scientifiques situé au 33 Bis Rue Du Général De Gaulle.

Nicole Reine Lepaute
Mathématicienne et astronome française (1723 – 1788)

Nicole Reine Lepaute, née Étable, le 5 janvier 1723 à Paris, morte dans la même ville le 6 décembre 1788, est une mathématicienne et astronome française. Elle est, avec Caroline Herschel (découvreuse de comètes, de nébuleuses) et la Marquise Du Châtelet (traductrice en français des « Principia Mathematica » de Newton), une des principales femmes scientifiques du siècle des Lumières.
Son travail est souvent inclus dans celui d'autres auteurs, dont Jérôme de Lalande (astronome français), et son mari Jean André Lepaute (horloger français). Mais, s'il faut en croire Lalande, qui l'aimait beaucoup, elle était « un maître plutôt qu'un émule ».
Elle a notamment aidé au calcul de la date précise du retour de la comète de Halley de 1759 et est une contributrice majeure au calcul de l'éphéméride astronomique « La connaissance des temps » ( publication annuelle française d'éphémérides astronomiques des corps principaux du système solaire, fondée en 1679).

L'origine du bâti 

La MASTEInfogram

extrait de plan 1894 Extrait du plan de 1894 à l'origine, le 33
et le 33 bis de la Rue du Général de Gaulle font partie d’une même propriété
avant d’être séparée
en 2 propriétés.

 

 

Jean Cavaillès
Philosophe et logicien français, héros de la Résistance (1903 – 1944)

Né le 15 mai 1903 à Saint-Maixent (Deux-Sèvres). Reçu premier au concours d’entrée à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’ULM, agrégé de philosophie, docteur en mathématiques.
Durant toute sa vie, il n’a jamais cessé d’enseigner et de mener des recherches en philosophie des sciences et en mathématiques. Mobilisé en septembre 1939, comme officier de Corps Franc puis officier du Chiffre au Ministère de la Guerre.

Jean Cavaillès est fait prisonnier le 11 juin 1940 en Belgique, il s’évade et enseigne à Clermont-Ferrand.
En février 1943, il rejoint le Général De Gaulle à Londres puis est parachuté en France où il organise plusieurs réseaux de résistance, il est trahi par l’un de ses agents de liaison. Jean Cavaillès est arrêté le 28 août 1943 à Paris.
Torturé par la Gestapo, incarcéré à Fresnes et à Compiègne, il est fusillé le 17 février 1944 dans la citadelle d’Arras et enterré dans une fosse commune, sous une croix de bois portant l’inscription « inconnu numéro 5 ». à la libération, son corps est exhumé. Compagnon de la Libération à titre posthume, Jean Cavaillès repose aujourd’hui dans la chapelle de la Sorbonne.

La MASTE :

MASTE, 33 bis rue du Général de Gaulle 60180 Nogent-sur-Oise.
03 75 19 00 75
maste@nogentsuroise.fr

 

 

 

 

 

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